prenons soin du monde dÈs aujourd'hui
Alors que nous étions au printemps dernier en plein préparatif de notre 15ème édition de Lurrama, nous avons été stoppés net par la mise en place du confinement.
Depuis, entre amélioration et dégradation de la situation sanitaire, relâchements et renforcements des restrictions, nous essayons de nous adapter afin de maintenir ce rendez-vous important. L’ensemble de la formule a été revue, jusqu’à la thématique générale, dictée par l’actualité qui s’imposait à nous.
Depuis le début de la pandémie, de nombreuses voix (scientifiques, économistes, médecins, écologistes, élus, militants, etc) font entendre une lecture partisane de ce qui nous arrive, encouragent à tirer les leçons de la crise de sorte que l’après soit meilleur que l’avant pandémie.
Au sein de Lurrama, nous nous inscrivons dans ce courant qui pense que la pandémie et le blocage planétaire que nous vivons découlent de notre manière de vivre sur terre et de notre rapport au vivant. Nous partageons l’analyse que le modèle économique capitaliste qui régit l’ensemble des pays riches et qui s’impose à tous les habitants du monde, nous mène droit au mur. Nous pensons que ce modèle produit des inégalités jamais atteintes jusqu’à aujourd’hui (1% des plus riches détiennent 90% des richesses des plus pauvres, et les 10 % les plus riches sont aussi ceux qui émettent + de 50 % des gaz à effet de serre (statistique établie par l'ONG Oxfam)), sert l’intérêt d’une minorité au détriment du bien commun, nous emprisonne dans l’illusion d’une croissance éternelle, fragilise les démocraties et déstructure les sociétés, détruit les écosystèmes en surexploitant et appauvrissant le système terre.
Tout comme le modèle agricole industriel et intensif est à bout de souffle et perdure car sous perfusion, nous taxons d'hérésie le modèle économique qui domine le monde. Nous comprenons la pandémie actuelle comme une alerte, une mise en garde face aux risques annoncés de catastrophes bien plus graves.
Le modèle actuel ne peut pas durer. Le modèle actuel ne doit pas durer. Plus il durera, plus les conséquences nous seront néfastes.
Profitons donc de cette chance extraordinaire qui nous est donnée pour repenser le monde et s’atteler à en « prendre soin dès aujourd’hui ».
Depuis, entre amélioration et dégradation de la situation sanitaire, relâchements et renforcements des restrictions, nous essayons de nous adapter afin de maintenir ce rendez-vous important. L’ensemble de la formule a été revue, jusqu’à la thématique générale, dictée par l’actualité qui s’imposait à nous.
Depuis le début de la pandémie, de nombreuses voix (scientifiques, économistes, médecins, écologistes, élus, militants, etc) font entendre une lecture partisane de ce qui nous arrive, encouragent à tirer les leçons de la crise de sorte que l’après soit meilleur que l’avant pandémie.
Au sein de Lurrama, nous nous inscrivons dans ce courant qui pense que la pandémie et le blocage planétaire que nous vivons découlent de notre manière de vivre sur terre et de notre rapport au vivant. Nous partageons l’analyse que le modèle économique capitaliste qui régit l’ensemble des pays riches et qui s’impose à tous les habitants du monde, nous mène droit au mur. Nous pensons que ce modèle produit des inégalités jamais atteintes jusqu’à aujourd’hui (1% des plus riches détiennent 90% des richesses des plus pauvres, et les 10 % les plus riches sont aussi ceux qui émettent + de 50 % des gaz à effet de serre (statistique établie par l'ONG Oxfam)), sert l’intérêt d’une minorité au détriment du bien commun, nous emprisonne dans l’illusion d’une croissance éternelle, fragilise les démocraties et déstructure les sociétés, détruit les écosystèmes en surexploitant et appauvrissant le système terre.
Tout comme le modèle agricole industriel et intensif est à bout de souffle et perdure car sous perfusion, nous taxons d'hérésie le modèle économique qui domine le monde. Nous comprenons la pandémie actuelle comme une alerte, une mise en garde face aux risques annoncés de catastrophes bien plus graves.
Le modèle actuel ne peut pas durer. Le modèle actuel ne doit pas durer. Plus il durera, plus les conséquences nous seront néfastes.
Profitons donc de cette chance extraordinaire qui nous est donnée pour repenser le monde et s’atteler à en « prendre soin dès aujourd’hui ».